Catéchèse d’adultes
Rencontre avec les groupes en lien avec la catéchèse d’adultes
Baptême des tous petits :
Joies : préparations et célébrations, réussir à avoir un dialogue, certains parents ont soif, posent des questions, sortent enrichis des rencontres.
Difficultés : le suivi après : les 2 rencontres ne sont pas suffisantes pour donner envie, des dialogues mais trop courts.
Pourquoi pas 3 ou 4 rencontres ?
Encouragement à l’allongement de la session. Les repères sont totalement absents, cela suppose une qualité d’accueil.
Le baptême, c’est un devenir chrétien. Si l’accueil est convivial, des liens se tissent, une sympathie peut permettre un après. Il faut l’encourager.
Des personnes viennent de l’extérieur pour l’Eglise, sa beauté. C’est un peu frustrant pastoralement.
Des demandes de baptêmes en famille : il faut s’ajuster à ces demandes.
On a besoin de balises, on n’empêchera pas tel prêtre de diminuer les conditions. Ce n’est pas l’idéal et le fait d’avoir des orientations diocésaines peut diminuer ce phénomène.
Baptêmes en âge d’éveil :
De moins en moins d’enfants. 2 cette année.
Préparation sur 6 rencontres, on s’adapte aux enfants.
Baptêmes d’enfants d’âge scolaire :
Très enthousiasmés ou poussés par leurs parents.
8 enfants cette année.
Baptêmes de jeunes :
Beau chemin, en vérité
Mariages :
Les jeunes viennent souvent à reculons à la préparation.
Mais la première joie de l’équipe de préparation, c’est une bonne équipe bien soudée
Autre joie : discussion avec les couples, de bons échanges se créent, le travail de fond est important
Mais frustration du semeur : c’est très court
Autre frustration : le suivi de ces couples
Des orientations diocésaines sont en cours de préparation.
Si l’accueil, le contact est bon, les échanges sont très fructueux et très riches.
On peut, peut-être leur faire faire un chemin un peu plus long.
Souvent des jeunes viennent pour préparer la cérémonie. Essayons d’ouvrir leur esprit : est-ce que ce qu’ils viennent demander est cohérent ?
Ils n’ont pas la dimension de ce que cela représente.
Il y a beaucoup de confusion aujourd’hui sur ce qu’est l’Amour humain. On est beaucoup dans le registre de l’Amour passionnel, pas l’Amour pleinement humain.
Comment les aider à découvrir cet Amour humain qui est aussi intelligence, liberté… ?
Si le parcours est un peu prolongé, certains pourront mesurer ce qu’est le mariage.
Besoin de formation des préparateurs :
Ce qui manque, c’est le témoignage des laïcs : dire « je prie, je lis la bible », dire ce qu’on vit.
On ne peut pas rester extérieur à la parole que l’on annonce, à la Bonne nouvelle qui nous rejoint.
Confirmation :
Demande un peu chaotique en termes de nombre : cette année, 12 âgés de 15 à 35 ans.
Des jeunes d’autres paroisses se joignent à nous : Château Bernard, Vizille, St Michel les Portes.
Une difficulté : les faire parler, réfléchir sur leur Foi , faire part de leurs doutes
Des jeunes filles de seconde et de première sont très introverties.
Des joies : de super moments pour préparer.
Permanentes :
Grande joie : sont les premières personnes qui écoutent, accueillent, donnent les réponses.
Parfois doivent avoir l’humilité de se renseigner et recontacter car n’ont pas toujours toutes les réponses
Des difficultés pour les demandes de baptêmes lorsque les autres enfants ne sont pas catéchisés. Le dialogue n’est pas toujours facile.
Il faut faire un chemin pour rejoindre les gens où ils en sont eux.
Ce premier contact avec la communauté chrétienne, la paroisse, est très important et peut être décisif pour un chemin ou au contraire un blocage.
Funérailles :
Une petite équipe qui s’entend bien.
Souvent les familles sont loin de l’Eglise.
Il faut veiller à ce que la célébration soit une source de sérénité.
Les gens sont très reconnaissants de ce que l’Equipe peut leur apporter.
La première rencontre dure au moins une heure ½.
Les échanges sont très fructueux, ce sont des moments difficiles mais sources de joie postérieure.
Accompagnement spirituel
Une très belle première grâce d’accompagnement vécue, une très belle reconnaissance de la famille, des moments très heureux et très forts.
L’obstacle : laïc et femme, se heurte à des résistances
L’accompagnement spirituel par des laïcs est très ancien.
Il demande beaucoup d’humilité.
Toute la vie chrétienne est faite de discernement d’où l’importance de cet accompagnement.
On ne peut pas se guider soi même, on a besoin de quelqu’un.
L’attente des accompagnateurs : avoir une reconnaissance de l’évêque pour ne pas être rejetés.
Une formation ne garantit pas le charisme de la personne. Mgr de Kerimel en reparlera avec l’évêque d’Annecy.
Ce sont des questions qu’il faut approfondir.
Lundis de la Foi :
Mis en place depuis 6 ou 7 ans.
Répond à une demande de formation de la part de la paroisse.
5 soirées sur l’année, environ 15 à 30 personnes.
Joie de travailler ensemble
Difficultés : on reste en dessous du nombre de personnes qui pourraient être intéressées.
Un des enjeux de l’avenir est la formation
Il faut vraiment encourager les chrétiens.
On manque beaucoup de repères même au niveau de notre propre Foi.
Il faut penser à appeler.
L’annonce est au milieu de la mission de l’Eglise. S’évangéliser, formation à mieux suivre le Christ.
Le cœur de la mission de l’Eglise= annonce de la Bonne Nouvelle.